C'est une nouvelle très encourageante pour la protection de la biodiversité en haute mer. Le traité sur la biodiversité en haute mer vise à établir un cadre juridique pour la conservation et l'utilisation durable de la biodiversité marine au-delà des juridictions nationales, là où les ressources marines sont particulièrement vulnérables aux activités humaines.

Le fait que 68 engagements aient été recueillis après la première journée de signature est un signe positif de l'engagement de nombreux États envers la préservation de la haute mer. Parmi les signataires figurent des acteurs clés tels que les États-Unis, la Chine, l'Australie et l'Union européenne, montrant ainsi un engagement mondial en faveur de la protection de l'environnement marin.

Cependant, il est important de noter que l'absence de la Russie dans la liste des signataires est une préoccupation, car la Russie joue un rôle significatif dans la gestion des ressources marines en haute mer. Espérons que la Russie rejoindra également cet accord à l'avenir pour renforcer davantage la coopération internationale en matière de préservation de la biodiversité marine.

La mention de l'absence de la Russie parmi les signataires est importante car la Russie est un acteur majeur dans la gestion des ressources marines en haute mer en raison de sa vaste zone économique exclusive (ZEE) et de son rôle dans l'Arctique. Si la Russie ne signe pas cet accord, cela pourrait limiter l'efficacité de l'accord dans la préservation de la biodiversité en haute mer, car elle possède une influence significative sur les activités marines dans ces zones.

L'appel à l'espoir que la Russie rejoindra ultérieurement l'accord est formulé dans le but d'encourager la coopération internationale et d'assurer une protection plus complète de la biodiversité marine. C'est une manière de souligner l'importance de l'inclusion de tous les acteurs majeurs pour atteindre les objectifs de conservation en haute mer.

Dans l'ensemble, cette avancée est un pas décisif vers la protection de la haute mer et montre que la communauté internationale reconnaît l'importance de préserver cet environnement marin précieux pour les générations futures.