Dans le cadre du projet MAPPED, les centres de recherchent publiques ont développé des outils dits de « supervision » destinés aux unités de méthanisation.

Pour rendre la création de biogaz attractive il faut diversifier son choix de déchet, en effet les exploitant on le choix. Ils peuvent utiliser des sous-produits de l’industrie agroalimentaire, ou encore déchets organiques. Ce choix est déterminant puisqu’il permet d’améliorer la qualité du gaz qui en découle.
De ce fait, la gestion des intrants puis leur utilisation comme matières premières dans les processus de méthanisation constituent des facteurs clés qui influencent le déroulement du procédé et la production finale de biogaz. L'optimisation de ces processus passe à la fois par la caractérisation des gisements et par la mise en place d'outils pour le suivi de la performance des installations. S'appuyant sur ce constat, BioEnTech développe des outils logiciels permettant de diagnostiquer en temps réel l'état des digesteurs et ainsi optimiser leur pilotage.

Ce projet existe depuis plus de trois ans l’objectif étant d’améliorer le rendement des sites, pour pouvoir favoriser cette création dans l’économie verte.

Il existe aussi un plan de développement pour ces nouvelles technologies sur une échelle territorial. L’objectif serai de localiser les substrats, ainsi créer une activité et en augmenter la rentabilité.

On peut constater que les biogaz représente une filière de notre économie très importante elle tant à se diversifier dans de nombreux domaine.