Avec l’explosion démographique et l’émergence de nouveaux géants économiques, l’impact de l’humanité sur l’environnement augmente régulièrement. À tel point qu’on entrevoit l’épuisement de certaines ressources naturelles, renouvelables et non renouvelables. Vers le début du XXIe siècle, leur épuisement est devenu l'une des questions les plus posées et en besoin de réponses voire préoccupantes pour l'avenir de l'humanité.
Pour cela, la législation française a essayé de protéger les ressources humaines. En fait, le droit de l’environnement est évidemment loin d’être dépourvu d’intérêt dans la mesure où il vise à la protection des richesses naturelles et fait l’objet d’un processus de décentralisation, fût-il lent et prudent.
Ainsi, la réforme de 27 janvier 2014 a confirmé cette orientation en élargissant les responsabilités des collectivités locales en la matière.
Sur le plan international, Le Burkina Faso, pour sa part, a connu un certain nombre d’expériences de réformes législatives et réglementaires dans le secteur des ressources naturelles. En effet, plusieurs textes juridiques sur l’existence, le fonctionnement et la vie de la nation et de ses structures ont été adoptés par l’assemblée.
Egalement, les lois canadiennes sont parmi les plus rigoureuses au monde dans le domaine de protection des ressources naturelles.
Revenant au droit français, une première loi de la nature a été promulguée le 10 juillet 1976. C’était une véritable révolution législative quoique freinée par la publication tardive des textes d’application. Avec ce texte, la protection des espaces et des ressources naturels, tout comme la préservation des espèces animales et végétales deviennent d’intérêt général. Grâce à la loi de 1976, la France compte aujourd’hui 341 réserves naturelles. Chaque année, de 5 à 10 000 études d’impact sont réalisées.
Par ailleurs, aujourd’hui, l'Homme achète soit sa nourriture soit ses biens de consommation des magasins et des supermarchés via Internet ou par correspondance et il a totalement oublié sa relation, qui était directe pour des siècles, avec la nature. Pourtant tous les produits qu'il consomme sont fournis d’une manière ou d’une autre par la nature. Jetant un œil sur l’agriculteur qui a toujours besoin de terres cultivables pour faire pousser du blé qui sera transformé en farine et ensuite en pain, en pâtes, en pizza ou en cookies... Mais, malheureusement, il confronte de problème d'urbanisation qui agrandit jour après l'autre voire heure après l'autre...
C’est presque la même chose pour fabriquer les biens de consommation. On extrait des minerais des profondeurs de la Terre pour les transformer, après traitement et travaux, en voitures par exemple ; les arbres servent à fabriquer du papier ; le pétrole est la base des matières plastiques ; les roches et le sable sont transformés en briques, graviers, béton et ciment ce qui nous permet de construire maisons, routes et villes. Pour fabriquer tous ces biens, il faut de l’énergie que nous trouvons aussi dans la nature. N'oublions pas la première source d'énergie (électrique essentiellement) c'est l'uranium qu'on l'extrait bien évidemment de la nature généreuse.
De plus, il est trivial de parler du dilemme de l'eau qui donnait à la planète terre l'appellation " planète bleue ", il faut bien signaler, évaluer et essayer sérieusement de résoudre le problème de sa diminution forte et continue.
Au sein d'une anarchie énorme, les experts font des efforts à apprécier, guidant à plusieurs nouvelles découvertes et à une progression remarquable au niveau des techniques d'exploitation des ressources naturelles, notant bien l'économie circulaire, en valorisant les opérations de recyclage et la réinjection des " déchets " dans l'industrie ce qui aide, sans doute, à économiser les ressources naturelles enfouies d'une part, et à limiter les effets néfastes sur l'équilibre planétaire d'autre part.
Alors ! Conservons nos ressources, protégeons nos petits-enfants !