En effet, selon la Banque Mondiale affirme que « le coût économique de la mortalité prématurée lié à ce fléau appelle à agir vite » et cela malgré le développement économique des pays et l’ensemble des progrès réalisés en matière de santé. Aujourd’hui, la pollution de l’air engendre des effets sur l’ensemble de la population y compris celle en âge de travailler ce qui produit alors d’importantes pertes de revenus liées à l’activité professionnelle.

La Banque Mondiale s’est aussi intéressée au coût des compromis dont les individus sont prêts à débourser pour réduire au maximum le risque de mourir prématurément (réduction des activités sportives…).

En Europe, la pollution de l’air engendre une dépense de 1 400 milliards d’euros par an. En effet, selon l’Organisation Mondiale de la Santé et l’Organisation de coopération et de développement 600 000 décès prématurés ou liés à des pathologies engendrés par la pollution de l’air sont recensés au sein de 53 pays européens. Concernant les principales sources de pollution, l’industrie a diminué ses émissions mais la pollution urbaine vient surtout des transports et du chauffage, il s’agit là de la pollution chronique.

Au niveau mondial, les pays dits émergents sont les plus touchés tels que l’Inde, la Chine ou les grandes mégalopoles comme Mexico. Ce même rapport rendu par l’Organisation Mondiale de la Santé et l’Organisation de coopération et de développement énonce que 87% de la population mondiale respire un air qui n’est pas conforme aux normes actuelles jugées trop permissives selon les scientifiques. C’est pour cela que l’OMS, a édicté des normes et des seuils de tolérance pour les substances telles que le plomb, le souffre ou encore les particules dites fines. Ces normes et seuils sont à la disposition des autorités publiques.

La Banque Mondiale s’est aussi intéressée au coût des compromis dont les individus sont prêts à débourser pour réduire au maximum le risque de mourir prématurément (réduction des activités sportives…).

En Europe, la pollution de l’air engendre une dépense de 1 400 milliards d’euros par an. En effet, selon l’Organisation Mondiale de la Santé et l’Organisation de coopération et de développement 600 000 décès prématurés ou liés à des pathologies engendrés par la pollution de l’air sont recensés au sein de 53 pays européens. Concernant les principales sources de pollution, l’industrie a diminué ses émissions mais la pollution urbaine vient surtout des transports et du chauffage, il s’agit là de la pollution chronique.

Au niveau mondial, les pays dits émergents sont les plus touchés tels que l’Inde, la Chine ou les grandes mégalopoles comme Mexico. Ce même rapport rendu par l’Organisation Mondiale de la Santé et l’Organisation de coopération et de développement énonce que 87% de la population mondiale respire un air qui n’est pas conforme aux normes actuelles jugées trop permissives selon les scientifiques. C’est pour cela que l’OMS, a édicté des normes et des seuils de tolérance pour les substances telles que le plomb, le souffre ou encore les particules dites fines. Ces normes et seuils sont à la disposition des autorités publiques.

Il convient aussi de mettre en évidence qu’un danger encore méconnu en matière de pollution ne cesse de croître, il s’agit de la pollution de l’air intérieur. En effet, selon l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur, celui-ci est cinq fois plus pollué que l’air extérieur. Si en France, cette pollution est encore méconnue, elle représente un fléau en Chine engendrant 50% du marché mondial des purificateurs portables.

Cette pollution résulte d’une part, de la pollution extérieure qui s’introduit dans l’ensemble des bâtiments (30% à 70%) et d’autre part, des sources domestiques telles que les colles des parquets, les bougies, les produits d’entretien… Pour pallier à cela, les exigences légales imposent que chaque immeuble soit doté d’une ventilation interne ayant pour objectif de renouveler l’air intérieur plusieurs fois par jours. Hormis cela, les individus peuvent se munir de purificateurs d’air qui aspirent l’air interne en retenant les particules et le gaz.